Et si t’arrêtais de courir contre toi ?
Réconcilier performance et bienveillance
9/12/20251 min read
On croit souvent que pour progresser, il faut être dur avec soi-même, se pousser sans relâche, presque se combattre. Résultat ? On se retrouve à courir contre soi, à se juger, à s’imposer des exigences qui finissent par nous épuiser.
Peut-on être bienveillant envers soi même et performant ?
Mais si la clé, c’était d’arrêter cette guerre intérieure ? De devenir ton allié plutôt que ton adversaire ?
Quelques pistes de réflexion sur l'auto-compassion :
La bienveillance n’est pas une faiblesse.
Au contraire, elle crée un environnement mental où la performance peut s’exprimer librement. Un esprit apaisé est un esprit performant.
Le mental, ce moteur délicat.
Un mental en lutte contre lui-même consomme plus d’énergie et fatigue plus vite. Pour durer, il faut l’écouter, le comprendre.
Se fixer des objectifs réalistes, pas irréalistes.
Être exigeant oui, mais avec justesse. Ça évite la spirale de la frustration et du découragement.
Parler à soi comme à un ami.
Les mots ont un pouvoir immense. Remplace “Je n’y arriverai jamais” par “Je fais de mon mieux, et c’est déjà beaucoup”.
Accepter les imperfections.
Personne n’est parfait, ni en course, ni dans la vie. Les échecs font partie du chemin.
Astuce simple :
Avant une séance, prends un moment pour te dire “Je suis là pour progresser, pas pour me battre”. Ce petit rituel peut transformer ta façon de courir… et de te sentir.
Parce que courir contre soi, c’est courir… à vide. Alors que courir avec soi, c’est courir… avec puissance et plaisir.
